Quoi ?
Des tatouages ? Des écarteurs ? Du rock dans Decelles ? Et oui,
c’était l’équipe en masse qui envahissait et éclairait notre école de commerce.
Depuis le 21 septembre, on peut admirer le projet de cette organisation hors du
commun qui innove tant bien dans les techniques, que dans l’esprit d’artiste.
Après avoir
réalisé de nombreux projets à Montréal et même dans de grandes métropoles comme
New York, Detroit et Tokyo, c’est à HEC Montréal qu’en masse poursuit son
histoire en retraçant la notre. Un thème ? La lumière, source d’énergie, inspiration
de toutes les civilisations et symbole d’innovation, représentée à travers des
nuances de gris qui surprendra les connaisseurs d’en masse, habitués au
contraste du noir et blanc.
Je pensais
qu’en masse était un groupe fixe d’artistes de Montréal, touchant de leurs
pinceaux différentes façades et recoins de la ville, mais en masse est en
réalité bien plus. Né en 2009, dans la galerie Pangée du vieux Port de la collaboration de Jason Botkin et Tim
Barnard, en masse a pour but de rassembler les artistes, les faire sortir de
leurs studios et créer une atmosphère détendue autour d’un projet où chacun
pourra exprimer son style. A chaque projet sa dose de nouveaux artistes. En les
voyant faire, je me rends compte que chacun a une grande liberté. On dessine
côte à côte, on discute musique, on se félicite, on parle de son parcours, de
sa technique… en bref, on socialise.
Au
moment où je croyais avoir tout entendu et pensais boucler l'entrevue, Fred Caron, co-directeur du projet me
surprend encore davantage : en masse se mobilise, et crée en masse pour
les masses, association visant à donner des activités aux plus jeunes. Vous les
aviez peut-être vu, comme moi l’an dernier à place des arts, dessiner sur ces
grandes toiles en plein air avec des enfants.
Pour en connaître davantage sur la signification des dessins, je vous laisse
regarder leur vidéo, quant à moi, je retourne à mes révisions d’intra.
Keep smiling J
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